Bruno Scudeller
Romancier, passionné de graphologie, il est l’auteur de la série Manuscripto

Bruno Scudeller
Après des études de psychologie à l’Université de Caen, une formation de graphologue, j’intègre un cabinet de conseil en gestion des ressources humaines, à Paris, en 1984.
En 1988, je me lance, consultant en recrutement, et installe un cabinet à Caen qui existe toujours.
Une quarantaine d’années de pratique des entretiens de recrutement ou plutôt de conversations sur des projets professionnels garde l’intérêt intact. L’analyse du contenu du discours est une exploration passionnante, changeante, complexe. Connaître l’autre et se comprendre apparaissent comme des voyages jalonnés de pièges où l’on n’arrive jamais.
Graphologue professionnel également depuis le début des années 80, l’examen des graphismes a toujours accompagné la compréhension du discours pour comparer, comprendre, échanger avec les scripteurs sur leur projection graphologique, en toute bienveillance.
On écrit de manière manuscrite de moins en moins. Avec le numérique, la voix et l’intelligence artificielle, l’humanité perdra-t-elle cette compétence d’écrire à la main ?
Sans doute, profitons alors de la signification des manuscrits pendant que nous en sommes encore capables.
Mes romans

Révéler les ombres et les lumières de l’âme humaine à travers les écritures manuscrites, Flandrin l’a déjà payé cher, en 1824.
Quelques années plus tard, il n’est pas quitte. Certains veulent s’approprier ce pouvoir ou le détruire à jamais.

Il sait lire l’âme des hommes. Son savoir peut lui coûter la vie.
En cette année 1824, déduire du trait de plume le trait de caractère et l’identité de son auteur dérange ceux qui savent écrire. À l’époque, ce sont les puissants…
